Une édition qu’il ne fallait manquer pour rien au monde que ce Woodrock 7 ! Comme à leur grande habitude le festival gratuit a su proposer une affiche riche en groupes d’exception.

Entrée en matière avec des groupes locaux en vue de bien commencer la soirée. La joyeuse troupe des Magistral Circus avec leurs chansons pleines d’histoires et de partage, le groupe de rock alternatif So Was The Sun et Demo 67, qui sera ma découverte de cette soirée. Des textes engagés, de la musique lourde et assumée, un groupe qui m’a beaucoup rappelé Noir Désir. Entre les concerts il était possible de retrouvé le groupe La Bonne Humeur prés de la buvette et à noter une extensionnalité cette année, l’école de Braine est venue joué sur scène quelques morceaux.

Mais c’est l’une des têtes d’affiche qui a fait se déplacer un grand nombre de personnes, je me demande d’ailleurs si ce n’était pas l’édition avec le plus de gens. Le groupe de chanson française/folk La Belle Bleue est venu partager avec les festivaliers ces textes et sa musique pleine de contraste. Le rock des guitares avec la douceur du mélodica ou du didjeridoo a conquis tout le monde. Ils ont même descendu de la scène pour rejoindre le public et jouer en acoustique une dernière chanson.

Comment finir un festival comme il se doit ? Avec du punk pardi ! C’était le rôle du groupe Brassen’s Not Dead d’enflammer les planches avant la clôture de cette soirée. La formation formé en 2006 dans le but de faire revivre la mémoire de Georges Brassens, en réinterprétant ses chansons dans des versions punk, tout en gardant l’humour et l’esprit contestataire. Une bonne excuse pour pogoter et revoir ces grands classiques de la chanson française.

L’équipe du Woodrock a encore une fois proposé une édition de qualité tout en restant toujours aussi accessible.